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Lion d'Afrique (Lion, Panthera leo), jeune mâle d'environ 24 mois repu après le kill d'un impala, Shinde, Delta de l'Okavango, Botswana.Lion d'Afrique (Lion, Panthera leo), jeune mâle d'environ 24 mois repu après le kill d'un impala, Shinde, Delta de l'Okavango, Botswana. Ce sont le plus souvent les lionnes qui chassent et tuent les proies. Les mâles, plus lourds et encombrés par leur crinière qui les ralentit dans les grandes herbes et les fourrés, sont en effet moins agiles et rapides. Mais au moment d'entamer la proie, s'il est présent le mâle retrouve la priorité. En fait il est souvent absent, occupé à garder les limites du territoire de son clan, et ce sont les lionnes qui l'appellent pour le festin. Ici, repu il se repose, à l'ombre de la végétation.
Léopard (Leopard, Panthera pardus), femelle adulte allongée sur le socle d'une termitière d'où elle vient d'apercevoir un impala, Kwando reserve, Botswana.Léopard (Leopard, Panthera pardus), femelle adulte allongée sur le socle d'une termitière d'où elle vient d'apercevoir un impala, Kwando reserve, Botswana. Elle aurait bien fait son déjeuner de cet impala mais il s'est vite éloigné. Noter les marques noires derrière ses commissures labiales, et celles de la poitrine. Il n'y a pas 2 léopards dont la répartition des tâches soit identique, et cette répartition constitue une véritable carte d'identité permettant aux guides des réserves d'identifier chaque individu.
Gnous bleus (Wildebeest, Connochaetes taurinus) et Impalas (Impala, Aepyceros melampus) s'abreuvant au point d'eau du lodge 
 Onguma Le Fort, Parc National d'Etosha, Namibie.Gnous bleus (Wildebeest, Connochaetes taurinus) et Impalas (Impala, Aepyceros melampus) s'abreuvant au point d'eau du lodge Onguma Le Fort, Parc National d'Etosha, Namibie. Les Impalas, sur la photo roux et plus petits que les Gnous, sont les antilopes les plus répandues en Afrique. Au contraire des Gnous, seuls les mâles Impala portent des cornes.
Guépards (Cheetah, Acynonis jubatus), mére et juvéniles consommant un impala, Onguma Nature Reserve, Namibie.Guépards (Cheetah, Acynonis jubatus), mére et juvéniles consommant un impala, Onguma Nature Reserve, Namibie. Il faut souvent de longues minutes à un guépard pour reprendre son souffle après son "kill" (voir glossaire). La première urgence est ensuite de cacher sa proie dans la végétation pour éviter qu'une hyène ou un autre félin la lui vole.
Femelle Guépard (Cheetah, Acynonis jubatus) dévorant un impala avec 3 de ses petits, dont l'un semble  gêné par le gonflement considérable de son ventre! Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie.Femelle Guépard (Cheetah, Acynonis jubatus) dévorant un impala avec 3 de ses petits, dont l'un semble gêné par le gonflement considérable de son ventre! Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Le risque de se faire voler la proie, et l'incertitude quant à la possibilité d'en capturer rapidement une autre sont souvent tels que l'urgence est maintenant que chacun en mange le plus possible en le moins de temps possible! Nécessité à laquelle ce guépardeau s'est pliée, mais qui explique son ventre distendu et son inconfort!
Deux jeunes guépards (Cheetah, Acinonyx jubatus) se nourrissent sur la carcasse d'un impala tué par leur mère, Onguma Nature Reserve, Etosha, NamibieDeux jeunes guépards (Cheetah, Acinonyx jubatus) se nourrissent sur la carcasse d'un impala tué par leur mère, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie Tandis que la mère guépard a quitté la carcasse, un de ses jeunes, caché par celle-ci, continue de se nourrir. Mais le second ne peut manifestement plus avaler un seul morceau tant son ventre semble prêt à éclater! A noter à gauche l'ossature d'une patte de l'impala, débarrassée de sa chair. Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie.
Mère et juvéniles guépards (Cheetah, Acynonyx jubatus) consommant un impala que la mère vient de tuer, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie.Mère et juvéniles guépards (Cheetah, Acynonyx jubatus) consommant un impala que la mère vient de tuer, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Il faut souvent de longues minutes pour qu'un guépard reprenne haleine après son "kill" (voir l'outil glossaire), tant l'effort qu'il a du fournir pour poursuivre puis culbuter et étouffer sa proie a été intense. Puis sa tâche la plus urgente est de cacher cette proie, ici dans la végétation, pour éviter qu'une hyène ou un lion la lui vole. Il commence ensuite à la consommer sans plus tarder, pour les mêmes raisons. S'il s'agit comme ici d'une mère et que ses petits l'accompagnent, ce qui est le cas à partir de 4 à 6 semaines, ils se joignent au festin.
Femelle guépard (Cheetah, Acynonyx jubatus) se reposant avec ses petits après la mise à mort et la consommation d'un impala, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie.Femelle guépard (Cheetah, Acynonyx jubatus) se reposant avec ses petits après la mise à mort et la consommation d'un impala, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Il faudra plus de 12 heures à la petite famille pour digérer la quantité considérable de chair qu'ils ont ingurgitée. Ce après quoi tous retourneront se servir de nouveau sur les restes de leur festin de la veille. A moins que la carcasse leur ait été volée par une hyène, un chacal ou un autre félin!
Jeune guépard rejoignant sa mère après s'être gavé de la chair d'un impala qu'elle a tué. Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie.Jeune guépard rejoignant sa mère après s'être gavé de la chair d'un impala qu'elle a tué. Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Le ventre du guépardeau semble prêt à éclater alors qu'il la retrouve, digérant dans un petit bosquet au sein duquel elle va pouvoir se cacher avec ses rejetons et le reste de sa proie.
Impalas (Impala, Aepyceros melampus), huit femelles et un jeune mâle à la lueur du soleil couchant, Chobe National, Park, Botswana.Impalas (Impala, Aepyceros melampus), huit femelles et un jeune mâle à la lueur du soleil couchant, Chobe National, Park, Botswana. Cette antilope de taille moyenne est particulièrement svelte et élégante. Seul le mâle porte des cornes, généralement beaucoup plus longues et flexueuses que celles du jeunot qu'on distingue au premier plan. Sur l'arrière train des 2 femelles qui le suivent, on distingue les 3 barres noires verticales tracées sur l'arrière des cuisses et sur la queue, caractéristiques de l'espèce. Ici le roux de la robe est exalté par la lumière rougeoyante du soleil couchant.
Impalas (Impala, Aepyceros melampus), femelle adulte et nouveau-né, Chobe National Park, Botswana.Impalas (Impala, Aepyceros melampus), femelle adulte et nouveau-né, Chobe National Park, Botswana. Notre voyage s'est déroulé au tout début de la saison des pluies, période avec laquelle la mise-bas des herbivores est synchronisée. La croissance rapide de l'herbe fournit en effet aux mères les conditions requises pour une lactation optimale. Ce qui nous a donné le plaisir d'observer l'un des tous premiers impalas nés fin 2019 prés du Chobe Game Lodge.
Impalas (Impalas, Aepyceros melampus), 3 femelles adultes nous observant depuis le socle d'une termitière, Réserve de Kwando , Delta de l'Okavango, Botswana.Impalas (Impalas, Aepyceros melampus), 3 femelles adultes nous observant depuis le socle d'une termitière, Réserve de Kwando , Delta de l'Okavango, Botswana. La plus abondante et l'une des plus gracieuses des antilopes africaines. Célèbre pour les bonds de jusqu'à 10 m de long et 3 m en haut dont elle est capable pour fuir un prédateur. Ce qui ne l'empêche pas de constituer l'une des principales proies des prédateurs, et particulièrement des guépards. On distingue bien sur ce cliché les 3 stries noires de son arrière-train, qui lui valent son surnom d'antilope M ou 111.
Impalas mâle et femelle (Impala, Aecyperos melampus) et Gnou bleu Connochaetes taurinus) au point d'eau, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie.Impalas mâle et femelle (Impala, Aecyperos melampus) et Gnou bleu Connochaetes taurinus) au point d'eau, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Chez les impalas, seul le mâle (à gauche) porte des cornes. Noter la silhouette particulière du gnou, dont le train avant est plus élevé que l'arrière, à l'origine d'une bascule caractéristique du tronc lors de la course. Ce qui ne l'empêche pas d'atteindre 65 km/h lorsqu'il court, avec des pointes à 80 km/h. A noter à l'arrière plan 2 Ouettes d'Egypte profitant également de l'eau.
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