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Girafes Masaï (Masai giraffe, Giraffa cameleopardalis ssp tippelskirchi) Parc National de Ruaha, Tanzanie.Girafes Masaï (Masai giraffe, Giraffa cameleopardalis ssp tippelskirchi) Parc National de Ruaha, Tanzanie. Les girafes de Fathala ont longtemps été trés peu nombreuses et difficiles à voir, la Réserve ayant été confrontée à différents problèmes dont un incendie à ses débuts. Ce n'est qu'en 2018 que nous avons pu en obtenir nos premières photos (voir séjour d'Octobre-Novembre) d'où mon recours à des clichés pris en Tanzanie pour illustrer cet animal. Il y en avait 8 cette année là dans la réserve.
Girafes d'Afrique du Sud (Cape Giraffes, Giraffa giraffa ssp giraffa), Réserve de Fathala, Région de Fatick, Sénégal.Girafes d'Afrique du Sud (Cape Giraffes, Giraffa giraffa ssp giraffa), Réserve de Fathala, Région de Fatick, Sénégal. Les 5 girafes importées d'Afrique du Sud, ont eu du mal à s'implanter à Fathala, particulièrement du fait d'un incendie survenu peu après l' ouverture de la réserve. Elles sont toutefois parvenues à procréer et sont maintenant 8. C'était la première fois que nous les voyions, mais à vrai dire, habitués à en voir dans de nombreux autres sites Africains, nous ne les avons jamais vraiment recherchées à Fathala.
Girafes d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis), 8 adultes et un girafon, Kwando reserve, Delta de l'Okavango, Botswana.Girafes d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis), 8 adultes et un girafon, Kwando reserve, Delta de l'Okavango, Botswana. Un très bon moment passé auprès de ces 8 femelles (selon leurs antennes ou "ossicones" poilus) et d'un girafon, au centre. Elles déambulaient calmement d'arbre en arbre pour se restaurer de leur feuillage. Il existe prés de la base des ossicones des glandes émettant une odeur spécifique de chaque individu, lui permettant de "marquer" son passage dans le feuillage de chaque arbre.
Girafes d'Angola adaptées au désert (Desert-adapted Angolan giraffe, Giraffa girafa angolensis), mâle accompagné de 2 femelles  évoluant sur une berge de la rivière Hoanib  alors à sec, Kaokoland, Région de Kunene, Namibie.Girafes d'Angola adaptées au désert (Desert-adapted Angolan giraffe, Giraffa girafa angolensis), mâle accompagné de 2 femelles évoluant sur une berge de la rivière Hoanib alors à sec, Kaokoland, Région de Kunene, Namibie. C'est l'individu du milieu, plus grand et dont les "cornes" ont perdu leurs poils, qui est le mâle. Les girafes de la vallée de l'Hoanib avaient un temps disparu, tuées, entre autres, comme viande de brousse. Elles ont été réintroduites, et grâce à la protection dont elles bénéficient aujourd'hui, elles seraient environ 250. Nous en avons vu 8.
Girafes d'Angola (Angolan ou Namibian giraffes, Giraffa cameleopardis angolensis), point d'eau de l'hotel Onguma The Fort, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie.Girafes d'Angola (Angolan ou Namibian giraffes, Giraffa cameleopardis angolensis), point d'eau de l'hotel Onguma The Fort, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Sept Girafes d'Angola venues boire au point d'eau Au centre un mâle adulte se distingue par sa plus grande taille et la plus grande longueur de ses "cornes" (ou plutôt ossicones selon leur vrai nom). Les autres girafes, plus petites, sont de jeunes femelles, à l'exception de l'individu de droite, plus grand et presque noir, qui est a priori un mâle. Comme l'a rapporté le Pr Bercovitch dans son étude du Journal of Zoology de Z012, les mâles Girafes commencent à foncer vers l'âge de 7 à 8 ans, et 2 ans plus tard leurs tâches sont devenues presque noires. De plus ses cornes sont proportionnellement plus longues, et dépourvues de poils à leur extrémité.
Girafes d'Angola (Angolan or Namibian giraffes, Giraffa cameleopardis angolensis), Onguma The Fort waterhole, Parc National d'Etosha, Namibie.Girafes d'Angola (Angolan or Namibian giraffes, Giraffa cameleopardis angolensis), Onguma The Fort waterhole, Parc National d'Etosha, Namibie. Plusieurs girafes se désaltèrent au point d'eau. La plus grande, au centre, et celle de droite, presque noire, sont des mâles. C'est très probablement aussi le cas d'une troisième, au centre, penchée sur la croupe de la petite femelle qui boit. Elle semble la humer, cherchant probablement à percevoir un taux élevé de phéromones qu'émettrait la petite girafe, et qui indiquerait qu'elle est dans sa période de fécondité. Lorsqu'elles cessent d'allaiter, les femelles girafes entrent en œstrus (période féconde) toutes les 2 semaines. Les mâles vont de femelle en femelle et testent leur stade reproducteur en flairant leurs parties génitales et leurs urines. Ils adoptent alors une mimique particulière, dite "flehmen", relevant la tête et retroussant la lèvre supérieure de façon à faire parvenir l'odeur de la femelle jusque leur organe de Jacobsen, situé au fonds du palais, lequel évalue le taux des phéromones, hormones génitales volatiles qu'elles émettent, et permet au mâle d'apprécier si elles sont prêtes à une copulation.
Girafes d'Angola (Angolan or Namibian giraffes, Giraffa cameleopardis angolensis) , Onguma The Fort waterhole, Parc National d'Etosha, Namibie.
Girafes d'Angola (Angolan or Namibian giraffes, Giraffa cameleopardis angolensis) , Onguma The Fort waterhole, Parc National d'Etosha, Namibie. Mais qui drague qui? Tandis que le mâle qui lui flairait la croupe semble s'être écarté d'elle, probablement parce que le niveau de ses phéromones n'indiquait pas qu'elle soit prés d'ovuler, la petite girafe semble maintenant flirter avec le grand mâle noir qu'elle parait solliciter ? Nous n'avons malheureusement pas connu la fin de cet épisode, ayant du quitter notre poste d'observation peu après cette scène.
Girafe d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis), mâle adulte, Chobe National Park, Botswana.Girafe d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis), mâle adulte, Chobe National Park, Botswana. Nous n'avons vu que la tête de cette Girafe d'Angola. Son corps était caché par la végétation. Il s'agissait d'un mâle selon la grande taille de ses "ossicones" (pseudo-cornes), et l'absence de poils à leur sommet. La Giraffe de l'Angola est l'une des 2 sous-espèces de la Girafe du Sud (Giraffa giraffa) dans la nouvelle classification des Girafes proposée en 2016 par A Janke et J Fenessy suite à leur étude génétique sur 190 prélèvements de peau.
Girafe d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis ), portrait d'un mâle adulte, Shinde, Botswana.Girafe d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis ), portrait d'un mâle adulte, Shinde, Botswana. Un second mâle de cette sous-espèce de la Girafe du Sud, pourvu d'une bonne tête, après celui observé à Chobe. On peut voir cette sous-espèce de la Girafe du Sud au Nord du Botswana et de la Namibie, ainsi que des deux côtés de la frontière entre l'Angola et la Zambie, et à l'extrême ouest du la Zimbabwe. A noter la longueur des cornes, et l'absence de poils à leur extrémité, typiques du mâle adulte qui use ces poils au cours des combats qu'il livre à ses rivaux.
Girafe d'Angola (Angola giraffe,  Giraffa giraffa ssp angolensis) mâle adulte broutant le feuillage d'un acacia, Kwando reserve, Delta de l'Okavango, Botswana. Girafe d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis) mâle adulte broutant le feuillage d'un acacia, Kwando reserve, Delta de l'Okavango, Botswana. Dans un décor typique de la savane arborée de Kwando en fin de saison sèche, constellée de termitières formant les ilots qui seuls surnageront bientôt lorsque l'Okavango aura transformé le paysage en l'inondant, ce grand mâle broute les feuilles de branches qu'il est seul capable d'atteindre.
Girafe d'Angola (Angola giraffe,  Giraffa giraffa ssp angolensis) jeune mâle au pelage pâle, Réserve de Kwando, Delta de l'Okavango, Botswana. Girafe d'Angola (Angola giraffe, Giraffa giraffa ssp angolensis) jeune mâle au pelage pâle, Réserve de Kwando, Delta de l'Okavango, Botswana. Un mâle plus jeune, reconnaissable à ses cornes plus épaisses que celles des femelles. (il s'agit en fait d'excroissances osseuses recouvertes de peau dont le vrai nom est "ossicones") et qui sont dépourvues de poils à leur extrémité. Les poils des mâles s'usent en effet lors des combats au cours desquels ils se frappent violemment à grands coups de tête et de cou (méthode de combat qualifiée en anglais de "Necking", du mot neck = cou).
Girafe d'Angola adaptée au désert (Desert-adapted Angolan giraffe, Giraffa girafa angolensis) jeune mâle arpentant le lit asséché de la rivière Hoanib  alors à sec, Kaokoland, Région de Kunene, Namibie.Girafe d'Angola adaptée au désert (Desert-adapted Angolan giraffe, Giraffa girafa angolensis) jeune mâle arpentant le lit asséché de la rivière Hoanib alors à sec, Kaokoland, Région de Kunene, Namibie. Il existe aussi des Girafes adaptées au désert. Celle-ci est un mâle, selon la grande taille de ses "cornes", et la décoloration de leur extrémité, dépourvue de poils. Ceux-ci sont en effet usés par les combats entre mâles. A noter aussi l'énorme acacia (l'arbre dont les girafes se nourrissent du feuillage) sous lequel marche ce mâle. Ses racines sont certainement en contact avec la nappe souterraine qui s'étend sous le nid de la rivière, et son développement est maintenant tel qu'il ne risque plus d'être arraché lors des rares montées en eau de l'Hoanib.
Girafe d'Angola (Angolan giraffe, Giraffa Cameleopardis Angolensis), femelle adulte, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Girafe d'Angola (Angolan giraffe, Giraffa Cameleopardis Angolensis), femelle adulte, Onguma Nature Reserve, Etosha, Namibie. Une belle femelle selon ses ossicones (fausses antennes) fins et relativement courts, évoluant le long d'un boisement ouvert.
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